• Jean Noël DURAND

    On voit bien où on voudrait nous entraîner dans ce faux débat entre crime terroriste et crime

    de guerre. En réalité dire crime terroriste serait le niveau le plus haut des crimes les plus atroces

    les plus inacceptables et au bout du compte ceux qui ne méritent aucune réflexion puisque l’on est

    essentiellement tourner vers l’horreur. Le crime terroriste n’aurait aucun passé ni aucun futur .

    Il est enkysté dans un moment. Et pourtant il y a un avant et un après. Et pour cela il est bon de faire

    des retours en arrière non pas pour excuser ni pardonner mais pour comprendre . Or s’il n’est rien

    de prévu au niveau international en ce qui concerne des crimes étiquetés terroristes puisqu’ils ne relèvent

    que d’une juridiction propre aux états en revanche les crimes de guerre sont bien décrits par les

    règles internationales. Le tribunal de Nuremberg en est un exemple historique qui a jugé les crimes

    des nazis perpétrés contre le peuple juif et d’autres après au tribunal international de La Haye.

    C’est notre position et nous ne pensons pas qu’il y ait là la moindre acceptation des crimes horribles

    perpétrés par le Hamas qui un jour ou l’autre devra rendre des comptes. 

    Mais pour qu’il y ait conflit il faut qu’il y ait au moins deux belligérants et ce qui est valable pour l’un l’est aussi

    pour l’autre. Cette dénomination se défend d’autant plus que la situation de guerre entre Israël et

    les Palestiniens est ancienne même si les instances internationales ont eu tendance à l’oublier ces dernières

    années comme si cette guerre n’existait plus. Et pourtant les actes de guerre ne manquent pas. Il s’agit d’une

    guerre coloniale entre puissants et faibles . Et quand les faibles sont humiliés et poussés au désespoir c’est la haine

    qui s’exprime et cela dans les deux camps en conflit. Encore faut il se tourner un moment vers le passé pour trouver

    des solutions pour le futur.


  •  Ecoutez


  • Vous pourrez vous rendre compte,  d'après ce graphique, qui possède quoi ? 

    Les médias la presse tv etc...

    Vu sur internet, accès libre.

    QUI POSSEDE QUOI ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA


  •  Comme je le disais déjà dans l'accueil, notre démocratie est bafouée de toutes parts.

    D'abord commençons par l'assemblée Nationale, dont les discussions des opposants ne sont pas pris

    en compte.

    Malgré une majorité relative et non absolue, les décisions sont obtenues par des 49.3.

    De plus, avec toutes les manifestations qu'il y a eu contre la réforme des retraites, l'économie, vie sociale etc...rien

    n'est pris en compte.

    On s'entête et  on se referme dans sa bulle.

    Depuis un certain temps la LFI-NUPES est pris en grippe, le Gvt se voyant restreint de plus en plus à convaincre l'Assemblée et les citoyens eux-mêmes.

    Bref, venant en au fait d'en ce moment, où tous les médias : presses, chaines TV tournent en boucles pour des informations mensongères. 

    De plus s'autorisent à dire certaines choses plutôt racistes, omophobes et même plus grave, car allant jusqu'à des menaces. Les interviews sur différentes chaines, les journalistes détournent les questions pour déstabiliser l'invité et d'arriver sur des sujets dont ils voudraient qu'ils approuvent. 

    Mais ceci ne fonctionne pas. 

    Toutes les infos sont ici dont vous pouvez en voir une bonne partie et vous rendre compte de l'état actuel où nous vivons.

    Mais le 20 Octobre, une chaine indépendante arrive à la télévision, chaine dont nous aurons les vraies informations, non détournées, et réelles.

    VIVEMENT CETTE DATE.

     

     

     

     


  • Il est originaire du Bordelais1.

    Il commence sa carrière dans la police nationale. Il est commissaire de police à Puteaux2. Il devient par la suite

    chef d'état-major de la Sécurité publique. En 2001, il est nommé directeur départemental à Rennes, où il ne reste que

    quelques mois3,4.

    Il est directeur de cabinet de Michel Gaudin à la direction générale de la Police nationale en 2002. Gardère dirige alors la sécurité publique

    d'Ille-et-Vilaine5. Il monte avec Gaudin la police d'agglomération du Grand Paris6. Il est nommé directeur de la police urbaine de proximité

    de Paris en 20057,8. Il est nommé quatre ans plus tard directeur de la police du Grand Paris, où il dirige 26 000 hommes9. Il est crédité

    d'avoir fait chuter de 25 % la criminalité dans l'agglomération10.

    En mars 2011, il est nommé préfet hors cadre et devient directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Intérieur Claude Guéant11.

    Le président Nicolas Sarkozy décide de le nommer préfet chargé de la sécurité à Marseille en août 2011, avec la mission de juguler

    la délinquance4. Il remplace Gilles Leclair12The Economist remarque que la tâche de la pacification de Marseille est difficile, de telle

    sorte qu'il est le troisième préfet à ce poste en trois ans13. Il met en place une « stratégie de harcèlement » en récupérant un

    maximum des armes utilisées par les bandits et délinquants, dont 290 pistolets et armes automatiques en 2011. En janvier 2012,

    300 armes sont récupérées14. Le journal Le Monde considère que même s'il obtient des renforts de CRS« il ne peut en fait

    que contenir la situation ». Il décide de s'intéresser aux accusations visant des actes de violence commis par la

     Brigade anti-criminalité de Marseille3.

    Il reste à ce poste jusqu'en septembre 2012. Il est alors remplacé par Jean-Paul Bonnetain15. Il devient en septembre préfet délégué

    à la sécurité des aéroports parisiens de Roissy et du Bourget jusqu'en décembre 201411.

    En janvier 2015, il est nommé directeur du Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps)16. Il est contraint de quitter

    ce poste lorsqu'il est mis en examen en 2016. Il se reconvertit dans l'intérim1.

    Source :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Gard%C3%A8re

    Affaires judiciaires

    Une enquête est ouverte en août 2013 à la suite d'un signalement de Tracfin, qui le soupçonne d'abus de bien social, de travail

    dissimulé et de blanchiment visant les activités d'une entreprise immobilière, France Pierre17.

    Il est mis en examen en janvier puis en septembre 20167. Il est soupçonné d'avoir utilisé sa position pour obtenir des faveurs

    en échange de contreparties18. Il est placé sous contrôle judiciaire et se voit interdire l'exercice de tout emploi public ainsi que de

    tout emploi dans les secteurs de la sécurité ou des aéroports11. Il est défendu par Jean Veil19.

    Il est accusé de corruption passive, de recel, d'abus de biens sociaux et détournement de fonds publics20. La justice enquête

    sur le fait qu'il habite un logement social dans la ville de Puteaux, alors qu'il possède une dizaine d'autres propriétés immobilières19.

    S'étant fait offrir des locations de voiture, des restaurants de luxe et des téléphones cellulaires coûteux, Le Parisien surnomme

    Alain Gardère « le préfet qui ne payait jamais »20.

    L'enquête prend fin en septembre 202021. Il fait partie des seuls quatre préfets mis en examen dans les années 2000 et 201011.

    En juillet 2022, le ministère public demande son renvoi devant le tribunal, avec quinze autres personnes, pour des faits de « corruption »,

    de « détournement de fonds publics » ou encore de « prise illégale d’intérêts »22.

    Son appartenance à la franc-maçonnerie a guidé une partie de ses choix : il lui est reproché d’avoir utilisé ses fonctions publiques

    pour favoriser les affaires d’autres francs-maçons23.

    Source également :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Gard%C3%A8re





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