-
Vous vous posez tous la question, pourquoi cette invitation de grands patrons étrangers ?
Eh bien vous le saurez de suite en regardant cet article.
Le président Emmanuel Macron a invité une dizaine de dirigeants – Air Liquide, Axa, Dassault,
L’Oréal, etc. – vendredi 13 janvier, ainsi que beaucoup d’industriels, notamment.
L'objectif est de leur rappeler combien l’économie française a besoin d'eux.
La date n’est pas choisie au hasard, ce déjeuner a lieu juste avant l’ouverture, la semaine prochaine,
du forum économique de Davos, en Suisse où la plupart de ces patrons français vont aller pour échanger
avec leur homologues américains, asiatiques ou autres. Emmanuel Macron craint qu’ils ne soient trop sensibles
aux sirènes étrangères. Car en ce moment, les Américains déploient l’artillerie lourde pour attirer les
investisseurs étrangers sur leur sol. Le président ne veut pas que nos fleurons tricolores aillent s’installer aux États-Unis,
où les prix de l’énergie sont nettement plus bas : la crainte de délocalisation à cause du coût de la main-d’œuvre
a laissé place à la peur de la délocalisation énergétique.
Emmanuel Macron parlera de la réforme des retraites, bien entendu, car ces dirigeants, même s’ils
sont favorables à la réforme, appréhendent des mouvements trop durs, trop violents, de longues grèves
qui pénaliseraient leur activité.
-
Le WEF a été fondé en 1971 par Klaus Schwab, un économiste et professeur suisse-allemand,
dans le but d'encourager la coopération mondiale sur des questions politiques, sociales et économiques.
-
Ce lundi 13 mai, notre petit roi Soleil reçoit sous les ors du grand palais ses amis du grand patronatet il flottera autour du château de Versailles comme un air de Davos. 180 dirigeantsd’entreprises étrangères y sont attendus, dont ceux d’ArcelorMittal, J.P. Morgan, Bank of America,Goldman Sachs ou Coca-Cola. Tout ce beau monde convergera dans le cadre du septième sommetde Choose France, un raout pensé et présidé par Emmanuel Macron pour vanter sa politique en matièred’attractivité, une pluie d’investissements à la clé.Tous ces voraces se jettent vers nous pour profiterdu festin que notre bon roi Macron leur prépare à grands coups d’exonérations sociales ou fiscales etde destructions de droits sociaux.Et nos médias en chœur se félicitent des bienfaits que cette masse de patrons de grandes entreprisesvont apporter à notre Pays.On nous parle de 15 milliards d’investissements. Mais en terme d’emplois pérennesqu’en est-il ? Ce n’est certainement pas l’embellie dont ils nous parlent.Par exemple, quand vous créezun emploi chez Amazon, 6 emplois sont détruits dans le tissu économique local, notamment celui despetites entreprises et des commerces de proximité",La question, c'est : « quel type d'investissements pour quel type d'entreprise ? Macron préfère faire la part belleaux multinationales, plutôt que de travailler sur des entreprises en grande difficulté, comme Metex à Amiens(pour Metabolic explorer et qui produit un acide aminé, la lysine, présent dans les compléments alimentaires)ou Duralex, une entreprise spécialisée dans le verre.La flambée des prix de l'énergie, mais également le prix d'autres matières premières, a mis à mal ces deux usines,essentielles à la vie économique locale. "Plus de 200 employés sont en danger" rien qu'avec le site de Metex,"Quel type d'économie veut-on ?Il y a aussi les entreprises de panneaux solaires comme Photowatt qui sont en train de mettre la clé sous la porte.Et dans les « bienfaiteurs » qu’à invité Emmanuel Macron, est-ce que l'un d'entre eux pourrait venir sauver l'unede ces entreprises qui sont en difficulté ?"En clair, le sommet Choose France, "c'est la démonstration de la questionqui nous est posée : quel type d'économie veut-on ?Macron privilégie une nouvelle fois les grands groupes, au détriment des petites entités qui procurent de l'emploi surle territoire.Le message de Macron devant un parterre de patrons ravis pourrait être le suivant : « Nous avons passé des réformes, nous sommes en train de prendre des mesures supplémentaires et nous continuerons à réformer le pays afin de le rendre plus compétitif »En gros le jardinier va continuer d’arroser le fleuve pendant que son jardin dépérit..Alors le 9 juin prochain votez pour une Europe sociale, une Europe Solidaire, votez pour la liste menée par Manon Aubry
-
C’était probablement sa dernière audition au Sénat en tant que président-directeur général
de la SNCF. Jean-Pierre Farandou était entendu cet après-midi à partir de 14h00 par la
commission de l’aménagement du développement durable du Sénat. Son mandat, qui s’arrête le 13 mai,
ne sera prolongé que pendant la période olympique, il ne sera pas reconduit, a annoncé le gouvernement
ce matin dans un communiqué. Le haut dirigeant était dans le viseur du ministère de l’Économie,
depuis la signature d’un accord sur les fins de carrière, atténuant une partie de l’impact de
la réforme des retraites.
Informations complémentaires ici sur Public Sénat :
Et ce lien-ci pour Médiapart :
Voir les définitions des mots : Néolibéralisme et Etatisme.
http://nicolebrt.eklablog.com/definition-de-neoliberalisme-etatisme-a215778885
En conclusion :
Eh bien voilà, le Gvt n'est pas satisfait de çà et ne veulent pas d'accord avec les syndicats.
D'ailleurs il n'en veut plus. Tout diriger seul c'est grave.
L'Etat ou Gvt ou Macron, bref, ne veulent plus de syndicats c'est clair !En plus, pourquoi attendre les JO si cela était prévu avant ? Evidemment on ne sert que les intérêts Etat,mais les citoyens on ne s'en occupe pas.
-
Qu'est-ce que le néolibéralisme ?
Le néolibéralisme est aujourd'hui utilisé pour désigner des politiques de réforme
orientées vers le marché telles que « l'élimination du contrôle des prix,
la déréglementation des marchés des capitaux, l'abaissement des
barrières commerciales » et la réduction, notamment par la privatisation et l'austérité,
de l'influence de l'État dans l'économie.
Qu'est-ce que l'Etatisme ?
Étatisme : concentration des contrôles économiques et de la planification entre les
mains d'un gouvernement hautement centralisé s'étendant souvent jusqu'à la propriété
gouvernementale de l'industrie.