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  • Une petite précision s'imposait.

     

    De Alain Martin."

    Pour ceux qui seront surpris des temps de parole des différents partis dans les médias pour les élections européennes,

    il est bon de préciser que c'est l'EQUITE qui a remplacé l'EGALITE des temps de paroles, suite à une Loi proposée

    et votée par le Gouvernement en 2016 mais dans un principe ...d'Equité subjective...Lors du vote de cette Loi peu de personnes

    (hormis Mélenchon) ne s'était alors offusqué ... Et bien naturellement cette ÉQUITÉ n'est pas du tout ÉQUITABLE

    car elle s’apprécie au regard de critères tels que les résultats précédemment obtenus et des sondages concernant l’élection

    en cours et du nombre d’élus dont peut se prévaloir le parti concerné. L’équité des temps de parole doit également

    s’apprécier au regard de l’actualité du candidat ou du parti politique : organisation de réunions publiques, capacité à animer

    la campagne, activité sur les réseaux sociaux, etc.On le voit tout cela est très SUBJECTIF et on est très très loin de l'EGALITE

    des Temps de paroles. Comme disait Coluche, certains sont plus égaux que d’autres..


  •  La LFI.


  • L'intégralité du discours de Manuel BOMPARD du dimanche 14 avril 2024, au meeting de l'Union populaire pour

    les élections européennes à Montpellier.


  • Une bonne synthèse sur le vote des  Européennes du 9 juin 2024

     Il est temps de faire le bilan sur la politique d’Emmanuel Macron, à l’heure où une polémique en chasse une autre,

    une réforme en chasse une autre, et où les décisions politiques et économiques sont inédites et passent dans une quasi

    indifférence générale. Avant d’être Président de la République, il est bon de rappeler qu’Emmanuel Macron était Ministre de l’Économie

    depuis 2014, puis encore avant secrétaire général adjoint du président de la république depuis 2012, après une carrière de

    banquier d’affaires. Thomas Porcher rappelle que la philosophie d’Emmanuel Macron n’a jamais changé, même si le parti socialiste l’a accueilli.

    L’économiste dépeint le chef de l’État comme un libéral très dur depuis ses premiers jours, en rappelant des sorties très dures sur le chômage,

    par exemple. Thomas Porcher dresse un bilan qui a enrichi les plus riches, et appauvri les pauvres comme les classes moyennes.

    L’économiste parle aussi du rapprochement libéralisme et conservatisme en citant les lois immigration. Réforme des retraites,

    réformes assurance-chômage, durcissement de l’accès aux droits et du code du travail… Lisa Lap et Thomas Porcher se questionnent

    sur la capacité de l’oubli. Les élections européennes approchent, même si elles ne rencontrent pas une grande ferveur populaire.

    Malgré tout, cette campagne révèle plusieurs stratégies, et faiblesses, politiques. L’extrême droite est toujours très haute dans les sondages.

    Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place publique, est le candidat chouchou des médias pour représenter une gauche “modérée”, “responsable”.

    Ce qui pourrait voler des voix à la majorité qui peine à s’imposer et se fait talonner par la liste socialiste. Le parti présidentiel surfe sur la division

    à gauche quand Glucksmann porte déjà une alliance sans LFI. En attendant, LFI ou EELV sont en dessous des 10% dans les sondages,

    quoiqu’ils valent. Certains jouent quand même un premier jet pour préparer 2027. Thomas Porcher raconte en quoi l’alliance NUPES

    a été possible dans un but politicien après des querelles, et pour recommencer à se tirer dans les pattes quelques mois après.

    L’économiste rappelle aussi le risque de la montée de l’extrême droite. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !